Ce soir c'est Noël, on mange de la dinde !

...Et c'est bien fait.

Je peux ENFIN quitter cette neutralité de bon goût et de mauvais aloi.
J'annonce que j'ai voté dés le premier tour pour ce cher Nicolas Sarkozy de Nagy Bosca.
J'ai toujours eu un penchant pour une droite décomplexée, et il faut du machiavélisme pour réussir à ce poste !

Que les partisans de Miss pouffe se consolent, elle ne se retire pas à l'île de Ré. C'est vrai, quoi, un éléphant, une dinde, ils vont bientôt pouvoir ouvrir un zoo sinon. Non, elle reste, au moins pour préparer les législatives. Vous pourrez donc vous délecter de sa vision si personnelle de la ponctuation à l'écoute de discours rappelant le présentateur de Vidéo Gag.

Dans son QG, les militants ont entonné en choeur un "Ségolène, merci, Ségolène, merci !..." de circonstance.

Merci ! On vous écrira.

Maintenant, t'es gentille, tu dégages.

Comments

[Julie]

Il m'a semblé que dans le Jeu de la Haine tu réussissais assez bien le jeu de la neutralité, plus que les journalistes actuellement! Exemple à Télématin à l'instant, le premier titre: "Mesdames, mesdemoiselles, messieurs bonjour. L'escapade d'altesse du nouveau président de la République touche à sa fin."
Dans les autres posts c'est autre chose, et je pense comme Mel qu'on peut y deviner où vont tes sympathies politiques.

[El Romanozo]

Je peux t'assurer que d'autres ne l'ont pas du tout vu comme ça, cette phrase : Je connais un sarkozyste qui l'a mal pris...

Et puis à part celle-là, dans quel autre billet publié depuis l'époque du Jeu de la Haine y a-t-il une impression de critique partiale de l'une plutôt que de l'autre ?

[Mel]

... Faudrait pas exagérer, hein !
J'ai jamais particulièrement ressenti tes posts comme neutres, ne serait-ce que par l'importance des critiques que tu faisais de l'un ou de l'autre.

Je cite : "Qui dominera dans notre République ? Palès, gentille mais un peu bêbête, déesse des bergers et des moutons, partisane d’un certain ordre placide et limité de la société… Ou bien Lupérus, le roi des loups, prédateur dans l’âme à l’énergie indéniable, bestiale, parfois nécessaire mais dangereuse ?"

On ressent là comme une sorte d'admiration, et bien, sensuelle, presque, non ? ;-)

Bisous,