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Côté Beurre
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12 février 2009

La file d'odieux couleur Mentat à l'eau !

Je suis intelligent, c’est officiel. Si, si, je vous jure. On ne dirait pas, comme ça, mais c’est le cas.

Ah, mais j’en entends dans le fond qui se demandent tout haut « Comment peut-on proclamer officiellement l’intelligence de quelqu’un ? »… C’est vrai, c’est difficile : qui juge ? Comment juge-t-on de l’intelligence, un critère parfaitement abstrait aux définitions polymorphes, évolutives, toutes plus traitreuses les unes que les autres, avec tant d’aspects différents, innés et acquis ?

Je pense que c’est impossible, voire inutile, voire futile.

L’essentiel c’est de savoir repérer les cons sans avoir à leur faire cocher des cases, et ça, c’est à la portée de pas mal de gens.

Cependant, qui suis-je pour argumenter face aux gens de chez Mensa, ce pseudo-Rotary Club de ceux qui se croient les plus intelligents parce qu’ils ont correctement rempli les questions d’un psycho-test ? Evidemment, je ne vais pas adhérer à cette oligarchie de pédants… Mais, par curiosité, j’avais passé leur test gratuit il y a longtemps, et ils auraient alors été heureux de m’accueillir, paraît-il.

Pour m’amuser, j’ai passé quelques tests de QI au cours de ma vie. Vers 10 ou 12 ans il paraît que j’avais 120, mais je n’en crois rien : j’étais sûr que certaines questions ne pouvaient en aucun cas mesurer l’intelligence de qui que ce soit, avantageant ceux qui ont une formation mathématique, ce qui est complètement différent. Plus récemment (enfin, tout de même il y a quelques années), j’avais fait 145 et des brouettes à un autre test.

Je vous rassure tout de suite, je suis aujourd’hui incapable de résoudre les équations que je faisais allègrement au lycée… Comme beaucoup de gens. Je dois me creuser la tête pour trouver la suite logique de telle ou telle série de chiffres, un classique de ce genre de tests. Pourtant, j’ai une maîtrise obtenue à la Sorbonne, je lis vite, et j’ai l’esprit relativement vif… Du moins me l’a-t-on confirmé souvent.

Du reste, j’ai pu constater que, au cours de ma scolarité comme dans ma vie professionnelle, d’une manière générale et récurrente, l’intelligence est un avantage, mais n’est pas récompensée en elle-même… De même pour le talent (voyez la Star Academy…). La logique, bien qu’utile, gouverne peu les rapports humains. La seule chose qui est récompensée, c’est le travail, et l’insertion au mieux dans la machinerie complexe de la société.

Mais passons. J’aimerais signaler aussi que je suis une VRAIE BILLE en ce qui concerne les exercices du genre le programme d’entraînement cérébral machintruc proposé sur consoles. Je ne m’en inquiète pas outre-mesure, parce que ça me semble particulièrement mal conçu : croire que plus son cerveau est vieux, plus il est lent et plus il est con, c’est une généralisation absurde de la maladie d’Alzheimer.

Surtout quand on voit l’âge moyen des prix Nobel et de l’élite scientifique mondiale.

C’est à peu près le même problème que celui soulevé par la mise à la retraite, en France, de vieux chercheurs.

Je digresse, mais il faut tout de même dire que ça n’est pas très malin de refuser les chercheurs de plus de soixante ou soixante-cinq ans, étant donné qu’ils sont les seuls à posséder l’expérience nécessaire, et des capacités de raisonnement non seulement intactes mais souvent accrues : ceux qui sont séniles sont naturellement évacués d’un système qui garde et valorise les surdoués et ceux qui planifient à très long terme.

Et puis, l’autre jour, j’ai repassé le test de chez Mensa… Enfin, une version largement édulcorée sur leur site web, que j’ai torchée en deux temps trois mouvements vers une heure et demie du matin parce que je n’avais rien d’autre à foutre et que je n’arrivais pas à dormir. J’ai fait un excellent score, et j’ai constaté que les questions étaient vraiment plus simples que la dernière fois. Et moins nombreuses, aussi.

J’en déduis deux choses… D’abord, que Mensa est obligé de réduire le niveau pour attirer du monde, quitte à faire deux sessions, ensuite que le reste du monde devient de plus en plus con. Ou tout au moins que la paresse intellectuelle atteint des sommets encore jamais vus, et s’empare de gens qui pourraient réfléchir correctement mais trouvent que l’effort n’en vaut pas la peine dans notre société du prêt-à-penser et du presse-bouton.

C’est aussi un problème : Si la mentalité et la culture geek sont de plus en plus ouvertes, de plus en plus représentées (parce que bien plus rentables, il faut le dire… voyez les nombreux revenus générés par les livres et les films fantastiques de nos jours !), l’intelligence elle-même n’est pas valorisée. On assiste à la création d’une classe de pseudo-geeks, skybloggers et kikoolols, qui possèdent la culture de fans baveux sans le QI élevé.

Le binoclard est toujours aussi peu reconnu, quand bien même Bill Gates est l’homme le plus riche du monde, et la vie de celui qui le tabassait à l’école a culminé, en termes d’accomplissement personnel, vers 17 ans et demi… Les différents se font toujours taper dessus à l’école, et pire : nous avons déjà vu comment les médias et la publicité nivellent par le bas les esprits des citoyens. Et ça, les tests passent complètement à côté.

Bref, je suis intelligent, et je n’ai pas besoin de ça pour me le dire.

Mieux vaut penser en dehors des sentiers battus, l’esprit ne rentrant de toutes façons pas dans des petites cases.

Mensa, il faut le préciser, est un club pour ceux qui font partie des 2% de la population qui ont la plus grande intelligence, selon leurs propres tests reconnus. C’est une association qui, si elle est complètement entrée dans les mœurs dans les pays anglo-saxons, peine en France (à peine 1000 membres actifs). Pas parce que les français sont plus cons, mais parce que ça n’apporte rien. On comprend vite leur turn-over important.

Sans fausse modestie de ma part, ça manque d’humilité, ces gens qui se disent encombrés de surefficience mentale… Comme si c’était possible ! Je trouve que (comme ce billet, dans une certaine mesure, mais c’est involontaire…) ça fait genre « Oh, regardez-moi, je suis si intelligent, je suis trop bien pour les gens normaux, je dois rejoindre l’élite de 2% de la population ! »… Et il y a d’autres associations encore plus sélectives.

Je n’en ai noté aucune qui s’applique à améliorer activement le sort de l’humanité. Bien sûr, de nombreux membres mènent de tels projets dans leur coin, mais ces associations se veulent toutes strictement neutres sur les questions sociétales ou ayant un quelconque impact, à quelque niveau que ce soit. Chacun est libre de débattre ou de se regrouper selon ses centres d’intérêts, mais l’association Mensa (et d’autres) ne s’engage pas.

S’ils étaient si fortiches, ils sauraient, à l’instar des pubs de la SNCF, que le progrès ne vaut que s’il est partagé par tous. Ont-ils peur de répandre les fruits surabondants de leur intellect ? Ah, mais ce n’est pas la raison d’être de Mensa, disent-ils : Après avoir constaté que les surdoués des milieux défavorisés avaient des « difficultés d’adaptation », ils se sont dits qu’il fallait créer une association pour faciliter leurs rencontres.

C’est bien, mais quelle attitude fermée ! On n’ose imaginer les ressources que pourrait mettre en œuvre une telle organisation si elle était coordonnée au lieu d’être masturbatoire… Car c’est de la masturbation, même s’ils nient être en quête de reconnaissance : c’est quelque chose qui ne fait plaisir qu’à eux, et qui ne sert pas à grand-chose au reste du monde. Un vrai génie n’a pas besoin de ça, trouve l’émulation et arrive, d’où qu’il vienne.

Je n’ai rien contre récompenser l’excellence, mais ces espèces de Mentats ne sont que des superhéros inutiles de plus…

Ils se jugent, à raison, supérieurs aux autres… Et, forts de ce savoir, traversant la crise sans bruit, se contentent d’exister.

Cela montre bien la vision de l’intelligence que ces gens prônent. On lit, entre les lignes, que pauvreté et connerie vont bien ensemble, et qu’il faut donc « sauver » ces 2% de surdoués des milieux dont ils sont issus… Quel mépris ! Certes, l’intelligence dépend beaucoup de l’éducation reçue… Sauf que ce n’est pas à l’école qu’on reçoit la plus grande part de notre éducation, ni, le plus souvent, qu’on apprend à penser.

Les tests de Mensa mesurent une forme de culture, une compréhension aristotélicienne au détriment des autres, un peu de perception visuelle, de rapidité synaptique ou de puissance de calcul en chiffres arabes… Mais l’intelligence ? Point. Si l’on raisonne comme eux, un ordinateur est intelligent. Alors que, tout le monde le sait, il n’y a pas plus bête : impossible à l’heure actuelle de créer une Intelligence Artificielle.

Non, toutes ces associations pratiquent un élitisme déguisé de façon fort malhabile pour des individus avec de telles prétentions : ils sélectionnent soi-disant dans toutes les classes de population… mais je n’ai pas vu Mensa tester gratuitement les enfants dans les écoles pauvres, ou les adultes dans les ghettos, ou quelque initiative que ce soit avec pignon sur rue. C’est très franc-maçon, dans le mauvais sens du terme.

Non, Mensa propose des services pour les voyageurs qui permettent de rencontrer directement d’autres Mensans (oui, c’est un nom débile, je sais… Ce n’est pas ma faute, ce sont ces « génies » qui l’ont trouvé) en arrivant dans un pays… Il y a aussi des groupes par centres d’intérêts, dont, entre autres l’érotisme ou l’amour. Ben oui, cette dimension est discrète, pas centrale, mais bien présente : Eugénisme et reproduction des élites. Youpi.

Finalement, est-ce vraiment une bonne idée que ces gens soient coordonnés ? Après tout, entre la folie et le génie, il n’y a que peu de différences… On a connu de très grands savants et des gens d’une intelligence brillante responsables des pires horreurs, surtout au XXe siècle. Science sans conscience n’est que ruine de l’âme, et tout ça… Mais on a aussi connu des gens bien parmi les surdoués, comme des gens normaux, à toutes les époques.

Je vais vous dire, l’intelligence n’est pas la sagesse.

Un génie n’a rien à faire dans une association qui se dit pleine de gens de l'élite, mais qui n’est pas capable d’adresser de front la question de sa propre place dans la société occidentale, surtout lorsque ladite société a de toute évidence des problèmes urgents.

qiqi

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Commentaires
N
eh oui, triste constat, l'intelligence n'est pas le talent. sinon, Alain Juppé aurait été un excellent Premier Ministre. Le problème des gens intelligents qui ne sont que intelligents, c'est qu'ils se drapent dans une intelligence abstraite. La même qui produit ces belles idées qui capotent dès qu'on les appliquent au monde dit réel.<br /> <br /> Et ça ne date pas d'hier. Si les biographes de Platon (qui n'était pas la moitié d'un con, sinon il aurait écrit dans Voici au lieu d'aller s'empiffrer au Banquet) passent pudiquement sur sa période Syracusaine, c'est qu'il semblerait que la mise en pratique de ses idées politiques ait généré quelques problèmes. Peu de temps auparavant, d'ailleurs, la dictature des Trente Tyrans, à Athènes, avait dans ses rangs quelques uns des disciples les plus éminents de Socrate, et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle n'avait pas laissé un souvenir très agréables aux habitants du berceau de la démocratie.<br /> <br /> Tout ça pour dire, comme le père Gainsbourg avant nous, "La Connerie, c'est la décontraction de l'Intelligence". Ça ne sert à rien d'être intelligent si on se prend au sérieux.
M
Je ne connaissais pas ce site (Mensa) et j'avoue avoir envisagé de réaliser ce test la nuit dernière.<br /> <br /> En passant sur le fait que la qualité de leur site est peu digne de leur génie, j'ai trouvé les premières questions très rébarbatives /rédutrices. Quel intérêt de deviner des suites de nombre ? Je ne vois pas en quoi cela prouve une quelconque intelligence... <br /> J'ai connu des gens extrêmement doués en mathématiques (vive la prépa !) que je ne m'aventurerais pas à qualifier d'intelligent. On peut être doué en logique et complètement stupide par ailleurs.<br /> <br /> Je ne vais pas approfondir plus ce que vous avez tous les deux très bien dit, j'ajouterai juste que pour moi l'intelligence se détermine aussi par la faculté à utiliser correctement et de manière optimale les capacités intellectuelles disponibles. <br /> <br /> Allez, au boulot et bonne après midi,<br /> M.<br /> <br /> PS : c'est amusant mais Deezer vient de me faire écouter cette chère Jane Birking sur la chanson citée plus haut pendant l'écriture de ce commentaire... Suis je poursuivi par Big Brother ?
E
Merci d'apporter l'eau de votre expérience personnelle au moulin de mon billet, et merci aussi pour vos compliments implicites.<br /> <br /> Il est de mon devoir (même si c'est complètement sans rapport avec le commentaire de Baxter Beresford) de signaler l'article du site de Mensa-France au sujet de leur neutralité...<br /> <br /> L'article, d'ailleurs bourré d'humour, commence par dire que, périodiquemment, de jeunes membres présentés avec un mépris gentillet (typiquement mensan, de toute évidence...) comme moins sages que les vieux de la vieille ont cette approche volontariste. Suit l'exemple suivant :<br /> <br /> Mensa-France avait tenté une initiative pour aider, justement, les enfants surdoués... Et cela n'avait pas marché. Comme le dit fort justement l'article en question, on ne va pas voir un grippé pour guérir quand on a la grippe... Or, pour intelligents qu'ils soient, les membres de Mensa ne sont pas tous des pédagogues, et n'ont que leur témoignage à apporter, sans expertise: de bonnes intentions, mais telles que l'enfer en est pavé. Et il est juste que les vrais pédagogues reconnus aient tiré à boulet rouges sur ce mouvement malheureux, déjà parce que être surdoué au milieu des autres, si cela génère des frustrations (je le sais, je l'ai vécu), ce n'est PAS une maladie.<br /> <br /> Evidemment, on le voit au premier coup d'oeil, les soi-disant génies de Mensa France s'y sont pris comme des manches, et leur expérience ne prouve qu'une chose : qu'ils ne sont pas si intelligents que ça. Comme le dit justement Baxter beresford, ce n'est pas parce qu'on sait reconnaître, comme un singe entraîné, une suite de formes simples, qu'on est un génie.<br /> <br /> A-t-on un jour tenté de coordonner les efforts et les travaux des Mensans selon leur spécialité personnelle ? A-t-on ne serait-ce que proposé de les faire travailler sur des problèmes réels (comme la faim dans le monde, le système judiciaire, la crise, la pollution, et j'en passe...) plutôt que les "pauvres petits enfants surdoués qui sont teeeellement à plaindre c'est fou ouh là là" ? Assez de ce nombrilisme !<br /> <br /> L'auteur de l'article se replie avec couardise derrière le fait que Mensa n'a pour vocation que les rencontres, et qu'il ne leur appartient pas de s'engager, car un tel engagement, une volonté de dominer, serait nauséabond... Mais on ne leur demande pas de diriger le monde, que je sache ! Simplement, PUISQU'ils s'estiment supérieurs (et c'est clairement le cas), pourquoi ne pas proposer des conseils, des dossiers, des travaux à titre purement consultatif, disponibles sur Internet, en accès libre aux gouvernements ? Des inventions, des systèmes, de nouvelles manières de voir les choses créées par ces grands esprits ?<br /> <br /> Pourquoi pas ? Aucune réponse n'est apportée par Mensa.<br /> <br /> Bien sûr, c'est l'évidence même, que les arguments pour la neutralité ne tiennent pas une seule seconde dés lors qu'on estime faire partie d'une élite responsable.<br /> <br /> L'article prétend en sus que leur haut QI ne rend pas ces gens spéciaux ou géniaux... Nous avons montré que c'était exact, mais EUX, en dépit de ce qu'ils disent, pensent clairement être surdoués, l'élite, et tutti-quanti. Quelle ambivalence ! Ils sont surdoués quand ça les arrange, juste assez pour être un epu misanthropes et vouloir se retrouver "entre gens du même moooonde, n'est-ce pâââs..."... Mais dés qu'il faut le montrer, dés qu'il faut effectivement être surdoué plutôt que le prétendre, il n'y a plus personne.<br /> <br /> <br /> De toute évidence, les mensans ne sont pas aussi intelligents qu'ils le prétendent, si le seul article justifiant leur position porte en lui les germes de sa propre réfutation... Par ailleurs, Mensa n'ayant officiellement aucune opinion sur quoi que ce soit, c'est bien pratique : l'article n'engage que son auteur.<br /> <br /> Mensa : leur seul trait de génie, c'est d'éviter les problèmes au lieu de les confronter.
B
C'est drôle mais je me damande souvent si je suis le seul à faire ce que je fais. Tu sais le genre de conneries que tout à chacun fait, à l'occasion et en toute conscience de la futilité, de l'inutilité voir du ridicule de la chose.<br /> <br /> Comme, généralement, se mèle à l'acte lui-même un vague sentiment de honte, on ne demande à personne s'il fait la même chose que nous.<br /> <br /> Et l'on reste, tel qu'en soit-même, avec nos doutes que l'on couve comme un secret (licence poëtique).<br /> <br /> Puis un jour, au détour d'un blog découvert par hasard parce qu'on trouvait un des titres rigolo (cinéma-tchi-tcha)ou au cours d'une conversation ou d'un article dans la presse ou d'une émission-témoignage-confession-sociétale, on découvre avec émerveillement que "non, Jeff, t'es pas tout seul".<br /> <br /> Et donc, moi aussi (comme beaucoup de gens, j'imagine) j'ai passé les tests de présélection de Mensa et moi aussi j'ai découvert que j'atteignais un score de 100 et quelques et que je pouvais envisagé de rejoindre l'élite de l'élite, la crême de la crême du haut du panier de la communauté des agités du neurone, cognitivement surdévelopés.<br /> <br /> Moi aussi, j'y ai réfléchi 2 secondes (disons 10 minutes) et, moi aussi, je me suis dit que j'avais surement mieux à faire que d'aller m'encanailler avec des gens dont le seul point commun et de savoir, en un temps minimum, que logiquement après le rond-rond et le triangle-triangle c'est le carré-carré qui vient (comment ça, je schématise!).<br /> <br /> On m'objectera que si "mieux à faire" ça ne consiste qu'à poster des commentaires plus ou moins judicieux et pas toujours compréhensibles (si si j'ai bien noté une certaine dubitativité sur certains de mes posts), et bien j'aurais peut-être du persister à devenir l'un des leurs.<br /> <br /> Mais puisque je vois que je ne suis plus seul, me voila rassuré, je n'ai plus aucun regret.<br /> <br /> Je n'ajoute rien à ton texte, je suis d'accord en tout points;<br /> <br /> Et puis, même en tirant sur tout les cheveux qui passent à ma porté (en plus des miens), je ne vois pas comment faire un pont dialectique entre ton texte et les chambres à gaz ou je ne sais quel génocide dont le choix nous embarrasse.
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